Le plastique dans les océans voyage dans les airs !
- En mer, les
plastiques ne se dégradent pas, mais se fragmentent jusqu’à atteindre
l’échelle du millionième de millimètre.
- Mais que
deviennent ensuite ces microparticules ? Coulent-elles ?
Montent-elles dans l’atmosphère via l’évaporation de l’eau ?
C’est
très beau de penser que les déchets plastique, et macrodéchets sont grouper
dans des zones appeler « trash Island » en plein océan pacifique, donc
on peut facilement les nettoyer,
Mais en attendant d’approuver un éboueur océanique
international agrée.
Mais
c’est loin d’être le cas, car les déchets en mer suivent les phénomène
océanique et terrestre, et s’incrustent dans les éléments constituants les
cycles de vies.
Après
avoir retrouver des débris de plastique, communément appeler microplastique ou
nano plastique dans les estomacs d’espèces marines, des scientifiques tentent
de comprendre la dispersion du plastique dans l’univers via les océans en
suivant par exemple le phénomène de l’évaporation.
Depuis 2013, ces expéditions lancées par Patrick Deixonne embarquent des scientifiques en mer à destination des gyres océaniques [ces gigantesques tourbillons d’eau formés d’un
ensemble de courants marins], où s’agglutinent les déchets plastiques. C’est au
cours de l’une d’elles, notamment, que la chimiste Alexandra Ter Halle, chercheuse au laboratoire IMRCP de Toulouse, avait montré que les débris plastiques en
mer ne se dégradent pas (ou très lentement), mais se fragmentent jusqu’à
atteindre l’échelle du millionième de millimètre.
Aussi des
chercheurs Ecossais ont pu découvrir après analyses et recherches, que les nano-
plastique sont présentes sur les montagnes, du aux pluies chargées en
plastiques.
Est-ce vraiment
possible ?
C’est
possible car on a trouvé des nano plastique à 150 mètres de profondeur par une expédition
récente, mais pas que ça.
Pourtant, les quantités de microplastiques
retrouvées dans les pluies et les neiges tombées dans cette région isolée des
Pyrénées ne sont pas négligeables. Les chercheurs ont compté un dépôt de plus
de 365 particules de microplastiques par mètre carré et par jour sur les cinq
mois de l’étude, au cours de l’hiver 2017-2018. Soit une concentration
semblable à celles déjà mesurées dans l’air de grandes métropoles comme Paris,
précisent les chercheurs. D’où viennent-elles ? Comment sont-elles
arrivées là ? On est encore au stade des hypothèses. « Ce que
nous pouvons prouver sans équivoque, c’est qu’elles [ces microparticules] sont
transportées par le vent », précisait Steve Allen, l’un des co-auteurs de
l’étude Ecossaise.
Les nano plastique qui se fragmentent passe par l’océan
suivent et s’incrustent dans les phénomènes naturels comme l’évaporation, les vents,
les courants etc. et se retrouve dans nos pluies, dans la terre, dans les airs ….
La question de LYESOCEAN :
Quand est ce que on va commencer la sensibilisation scientifique
et raisonné des populations du monde ? et arrêter de faire du marketing et la
science de l’image sur le dos de la planète.
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